La stratégie des compagnies de croisières est de tabler sur le sentiment d'insécurité des voyageurs à bord pour vendre des excursions au double ou plus du prix local. Prenez le risque de découvrir une destination par vos propres moyens, c'est un peu plus exigeant, mais tellement plus satisfaisant. Il n'est jamais trop tard pour apprendre à voyager et découvrir le monde!
location de voiture vous reviendra infiniment moins cher que l’excursion vendue à bord. Attention: le centre historique de Florence est une « zone à circulation automobile restreinte ». Il faudra donc garer l’auto à l’extérieur et marcher, mais les...lisez plus...
Pour avoir accès au coffre au trésor culturel, artistique, historique et gastronomique qu'est l'Europe, nous avons, depuis l'adoption de la devise uniforme européenne (euro), à payer un prix d'entrée extravagant qu'est le taux de change de notre devise, et ce, en pure perte. Je me souviens avoir ainsi perdu au change plus de 45% de chacun de mes dollars au cours de voyages effectués au cours des années 2000. Cependant, les choses changent. Depuis novembre 2009, l'euro a perdu 15% de sa valeur par rapport à la devise américaine. La journaliste Stéphanie Grammond publiait le 8 mai dernier sur Cyberpresse.ca, sous le titre « Pour voyager avec le maximum d'euros dans son portefeuille », un article faisant état du taux de change et des commissions appliquées par les institutions financières et certains bureaux de change à l'achat et à la vente d'euros. La valeur repère du tableau ci-dessous est de 1000 $ canadiens.
À l'évidence, les institutions bancaires ne sont pas dans le «coût»!
Le dicton « À Rome il faut faire comme les Romains » est toujours d'actualité, particulièrement lorsque nous voyageons dans des régions aux coutumes, religions et cultures nettement différentes des nôtres. Un petit répertoire des gestes à ne pas faire à l'étranger à été publié sur Planète.fr
La Villa Vizcaya est un édifice construit dans le style d'une villa nord-italienne du XVIe siècle. Il est localisé à Coconut Grove près du centre de Miami en Floride aux États-Unis. Le bâtiment a été réalisé comme résidence d'hiver pour l'homme d'affaires James Deering.
Le terrain s'étendait à l'origine sur 72,8 hectares et devait accueillir une habitation principale, différents jardins et un village entier au service de la propriété. La maison principale fut construite entre 1914 et 1916 tandis que la construction des jardins se prolongea jusque dans les années 1920. Les matériaux de construction parfois originaires d'Europe (pour garder le style original) étaient parfois difficiles à trouver à cause de la Première Guerre mondiale. Le bâtiment combine ainsi du marbre d'Europe et des pierres calcaires de Floride. Les plantes du jardin italien ont été choisies pour pouvoir résister aux conditions climatiques tropicales de la région. L'architecte des bâtiments du projet était F. Burrall Hoffman tandis que les jardins furent imaginés par l'architecte paysagiste Diego Suarez. L'habitation ressemble ainsi à la Villa Rezzonico située à Bassano del Grappa.
Deering vécut dans la villa Vizcaya de 1916 jusqu'à sa mort en 1925. En 1945, les descendants de Deering offrirent une partie des terres à l'archidiocèse de St. Augustine et à un hôpital. Le terrain comprenait toutefois encore la maison principale, une partie des jardins et le village. Ceux-ci furent vendus au comté de Miami-Dade.
La villa Vizcaya fut ouverte au public en 1953 en tant que « Dade County Art Museum ». En 1994, elle fut classée en tant que National Historic Landmark. Elle fut ensuite renommée en « Vizcaya Museum and Gardens ». Le terrain s'étend aujourd'hui sur 20 hectares et accueille un jardin botanique. Le musée contient 70 pièces décorées d'objets datant du XVe siècle au XIXe siècle.
En 2004, le comté de Miami a alloué près de 50 millions de dollars pour restaurer la villa Vizcaya. La beauté de la maison est toutefois menacée suite au développement urbanistique autour de celle-ci. (source: Wikipedia)
J’ai visité cette résidence et réalisé ce clip vidéo en avril 2010.